Basara

Ah chez moi ça marche bien pourtant?

non mais en fait t'inquiète, c'est mon ordi qui m'as joué un tour, il a suffit que j'envoie mon com pour que ça marche, genre, la bonne blague -_-

Celui-là est chouette aussi, mais il spoile un peu:

Spoiler:

je suis moins fan de ce genre de musique, mais c'est frai que c'est bien fait, et les paroles colle bien x)

Oui c'est sûr, ça change d'ambiance avec cette musique pop lol mais ça reste bien fait, et ça met bien en valeur toute l'action et le suspense de la série ^^
Je reste surtout fan de l'amv avec "Desert Rose" de Sting, même si la qualité d'image laisse à désirer *o*

Note :

Critique T.21: Derrière une très belle couverture dépeignant une Sarasa empêtrée dans une toile de bandages, les graphismes de ce vingt-et-unième opus de Basara continuent de nous enchanter par l'expressivité qui émane de chaque visage, le côté très évocateur des décors, le dynamisme des scènes d'action, et les subtiles émotions fortes qui vont conduire à de nouveaux drames...

Shuri a ainsi choisi d'aller affronter sa famille, et même si ses décisions ne font pas encore complètement sens, on ne peut pas lui enlever qu'il sait créer des coups d'éclat avec panache!
Pendant ce temps-là, Tatara rallie ses troupes, et rencontre pour la première fois l'énigmatique et dangereuse Reine Blanche...

La narration nous offre surtout un passionnant focus sur les investigations périlleuses du journaliste Tarô, en territoire ennemi!


Autant dire que les dernières pages nous laissent sur un sacré cliffhanger, le suspense étant proportionnel à la tension qui grimpe pour chacun des protagonistes où qu'il se trouve, et quel que soit le combat qu'il mène, à commencer par l'épique bataille qui s'amorce entre nos héros!

La fin est proche, mais Yumi Tamura continue sans relâche de développer plus encore la psychologie de ses personnages, avant de lever le voile sur leur destin qui se précipite...!

Note :

Critique T.22: C'est la dernière ligne droite de Basara et il reste encore tant de choses à accomplir et de batailles à livrer...
On s'y attendait, mais la guerre est sanglante aussi bien sur le front qu'en ville, et de terribles drames se produisent.
La narration fluide et subtile, portée par des dialogues percutants, nous livre les pensées des personnages pris dans la tourmente, avant, parfois, ce qui sera leur dernier souffle...


De magnifiques scènes nous attendent, mettant ainsi en lumière Taro, Papillon de Nuit ou encore Asagi. La fin de ce tome, bouleversante, nous laisse complètement suspendus face à l'issue brutale et cruelle d'un duel aussi symbolique que personnel.
Le choc que l'on ressent est porté par un découpage parfait des planches, qui distille le suspense jusqu'au bout, avec une superbe illustration tramée qui contraste avec la suivante, presque blanche, trahissant l'effroi des spectateurs.

Avec un tome si prenant, on ne peut qu'avoir hâte de lire la suite d'une fresque aussi épique que touchante!

Note :

Critique T.23: Cette couverture!!!

On s'en doutait, Asagi est au centre de la nouvelle intrigue de Basara, et si l'approfondissement de ce personnage amène des développements intéressants, c'est surtout le long discours de Shuri que l'on retiendra, d'une profondeur et d'une sincérité à couper le souffle.
Lors de ce passage, les graphismes magnifiques soutiennent avec force et émotion l'un des derniers tournants du titre, avec des plans vraiment incroyables...

Alors que le précédent volume nous avait fait pleurer à chaudes larmes à cause de deux terribles évènements qui s'y produisent, ce vingt-troisième opus achève de nous bouleverser en revenant sur le terrible dilemme de Sarasa, dont l'issue est l'une des plus belles et des plus sensibles qu'il m'ait été donné de voir dans le genre!

Yumi Tamura gère parfaitement les conséquences du twist le plus cruel de sa série, et nous offre une succession de scènes qui nous en mettent plein la vue tout en restant très justes et crédibles, grâce notamment aux flashbacks qui reviennent de manière saisissante sur toutes les morts qui ont jalonné le récit jusqu'ici.

L'héroïne continue de nous toucher par sa spontanéité, tandis qu'à travers son regard on revit en accéléré les péripéties sanglantes qui l'ont menée là, en se demandant quelle décision elle va prendre. La réaction des autres personnages est elle aussi passionnante!
Comme d'habitude de toute façon, alors que tout se précipite et qu'il y a pas mal de scènes d'action, la narration n'est jamais confuse et la mangaka gère d'une main de maître le développement de chacun de ses (nombreux) protagonistes.
L'histoire bonus sur Papillon de Nuit est à ce titre représentative du talent de l'auteure, capable en quelques cases de nous émouvoir irrémédiablement.

Un excellent tome qui ne dément pas la qualité imparable du dernier arc de Basara, décidément de plus en plus spectaculaire!

(Un petit mot rapide sur l'édition pour finir! Je ne sais plus si j'en avais déjà parlé avant, mais les erreurs dans la traduction rendent parfois l'identité des nombreux personnages floue, ainsi on peut voir "roi rouge" à la place du "roi bleu" page 103, ou encore Sakurada appelé Hagiwara page 135, de quoi perdre les lecteurs inattentifs... Mais malgré cela, et en dépit d'une impression un peu baveuse sur certaines pages, on ne peut que remercier Kana d'être allé au bout de la publication de cette saga, l'autre grande œuvre de l'auteure, 7 seeds, n'ayant pas eu cette chance dans nos contrées!)

Note :

Critique T.24: Shuri et Nakijin se lancent à la poursuite de Sarasa, elle-même partie à la rencontre d'Asagi...
Les derniers moments de la révolution enclenchée par Tatara vont donner lieu à de nombreux affrontements à différents endroits de Kyoto ou au sein du palais. Entre Kikune qui fait face à ses anciens amis, Papillon de Nuit qui se retrouve aux prises avec les Yarogumi, et les derniers mouvements de la famille royale, tout se précipite....


Le suspense est à son comble, et avec un rythme idéalement dosé, ce vingt-quatrième opus alterne entre les scènes d'actions et de flamboyantes confrontations où les dialogues ciselés dévoilent les tourments, les doutes, ou les espoirs de personnages qui conservent beaucoup de classe et de charisme quels que soient les retournements du sort.

Tandis que Yumi Tamura décrit avec réalisme l'écart entre les intentions d'un souverain ou d'un révolutionnaire et ce que ressent la population, en mettant perpétuellement en perspective les conséquences des actions de chacun dans la poursuite d'un monde meilleur et plus juste, les réels sentiments des uns et des autres se révèlent, avec une absence salutaire de manichéisme.

Cette subtilité dans le récit, qui ne divise pas ses protagonistes en deux camps (les gentils vs les méchants) rend chaque personnage passionnant à suivre, d'autant plus maintenant que la fin approche, et avec elle d'inévitables drames. On le sait, la fin de cette guerre ne se fera pas sans pertes, et on attend avec une hâte mêlée d'inquiétude de connaître le destin de nos héros...

Avec de chouettes petits bonus humoristiques en fin de volume, la mangaka rend l'atmosphère une peu plus légère en attendant que l'on découvre la conclusion de Basara qui se tiendra dans le prochain opus.

raaah ... Tu me tente Yûko x) Mais je crains que la série ne soit indisponible ... Et je n'ai pas envie de galérer avec 27 tomes introuvables ... Tu avait trouvé tes tomes facilement ?

j'ai chopé l'intégrale complète y'a quelques mois déjà, d'occaz ^^

à mon avis, il vaut mieux patienter le temps de trouver une intégrale à bon prix que se lancer dans la recherche des tomes à l'unité, certains sont vraiment durs à trouver...

sinon y'a un animé qui retrace le début de l'histoire, pour se faire une idée de l'intrigue ^^ je n'ai pas regardé, mais de ce que j'ai vu (les amvs postés plus haut), ça a l'air assez fidèle ^^

ou alors on va tous squatter chez toi yuko le temps de la lire (*c'est beau de rêver ^^*)

mais venez, venez! y'a un petit coin lecture avec toutes mes bibli autour ^^

Tu es en relecture Yûko? Je suis très fan de Basara aussi, même si j'ai découvert cette série un peu sur le tard. A vrai dire, j'ai lu le volume 1 en Fnac (et c'était très accrocheur!) mais je n'arrivais jamais à lire le volume 2, et j'ai dû relire au moins 3 fois le volume 1 avant de squatter la série à une amie . Depuis, je me suis achetée toute la série et franchement, je suis emportée à chaque relecture ^^ . A l'époque où je lisais le volume 1, je trouvais les dessins vraiment pas beaux et c'est ce qui m'a donné envie de le lire (un peu pour me moquer), mais aussi parce que ce manga avait vraiment l'air culte. J'en entendais parler dans le Mangavoraces de Tonkam, aux côtés des petits articles sur les volumes de Kenshin au Japon .

C'est vraiment un manga d'aventures à recommander. Long, sans temps morts, avec plein de personnages charismatiques, avec un souffle incroyable (encore plus fort que dans beaucoup de shônen je trouve) et du suspense. Et comme on est pas dans un shônen, on évite aussi les schémas auxquels on est souvent habitués .

Non, en pleine première lecture!
Tu vois, je suis une lectrice encore plus tardive que toi sur ce coup-là ^^ J'ai attendu que la série soit en arrêt de commercialisation... XD

Je trouve aussi que c'est une série d'aventures géniale, très immersive et bien écrite
Si c'était un film, on pourrait dire qu'aucun acteur ne se sentirait floué! Tous les personnages sont intéressants et charismatiques à leur façon, et oui, on évite les écueils de nombreux shônens comme tu le dis, pas de manichéisme gentils vs méchants, un vrai suspense, des morts (qui ne reviennent pas à la vie comme par magie), un enjeu ambitieux mais tellement bien mené (la révolution qui secoue un pays où le peuple est opprimé)...
Je n'ai que des louanges à lui faire, et même les dessins que je trouvais moyens au début me paraissent magnifiques sur la fin Je ne sais pas si c'est parce que le trait de la mangaka s'est vraiment amélioré ou si c'est mon côté fan qui grandit, m'éblouit, et gomme tous les défauts de la série lol
Bon, après, il y a quand même quelques petits défauts objectifs (un peu trop de rebondissements miraculeux dans les premiers tomes, mais bon, c'est pour que l'héroïne survive XD) mais ça reste mineur.

Et puis, même si c'est un shôjô, la romance n'envahit pas l'intrigue, loin de là, et elle est traitée avec beaucoup de maturité et d'originalité, en dépit du twist principal de la série un peu gros. Mais qui passe ^^ Et surtout ça donne lieu à de superbes scènes! *o*

Je ne sais pas s'il y a eu beaucoup de lecteurs masculins sur cette série, mais c'est sûr que je la recommanderais sans peine à tout le monde, shôjô ou pas.

Note :

Critique T.25: Dernier volume de Basara, du moins en ce qui concerne la trame principale de l'histoire, ce vingt-cinquième opus nous transporte littéralement et clôt l'intrigue avec beaucoup d'intelligence et de sensibilité.

Dès les premières pages, de nombreuses morts s'enchaînent, et on assiste impuissant à la fin d'une guerre qui aura été très meurtrière de tous les côtés, emportant avec elle une foule de personnages, dont certains qui nous étaient très chers.
On s'attendait à ce final plein d'émotion, mais il n'en est pas moins bouleversant!

Les dernières scènes autour des sentiments de Sarasa sont d'une intensité tout aussi touchante, et on ressent à la lecture toute la force de son véritable souhait, elle qui a si longtemps porté l'identité et le destin de l'enfant-élu.
Avec une mise en scène très belle et un peu métaphorique quelque part, on abandonne les protagonistes auxquels on s'était tant attachés au fil de cette saga épique et incroyablement vivante et captivante jusqu'au bout!


Après un final déjà plus que satisfaisant en tous points, Yumi Tamura nous gâte avec pas moins de deux tomes et demi d'histoires annexes!

Ainsi, dans "Madara", en écho à l'une de ses répliques sibyllines, Grande Sœur Blanche nous dévoile une partie de son passé...
Puis, dans "Hazama", nous découvrons un épisode sur la jeunesse de Papillon de Nuit.
Toujours aussi sombres et envoûtants, ces bonus n'en ont que le nom et s'inscrivent parfaitement dans la continuité du récit, éclairant d'un regard neuf certains aspects du passé ou du caractère de nos héros favoris... On en redemande!

Note :

Critique T.26: De nouvelles petites histoires annexes nous attendent dans ce vingt-sixième tome de Basara!

On y retrouve une anecdote centrée sur Hijiri et sur Nachi ("Nakama"), ainsi qu'une autre, très courte, sur Asagi ("Dakara").

La majeure partie de ce volume est consacrée à "Katana", un récit qui se déroule cent ans avant les événements que l'on connaît, à l’époque où les quatre sabres de la famille royale furent volés: le Genbu, le Seiryu, le Suzaku, et le Byakko atterrirent entre les mains d'une bande de révolutionnaires...

On met un peu de temps à rentrer dans l'histoire, puis on se passionne vite pour cette épopée digne de l'ambiance pleine de suspense de la saga, faite de drames, d'espoirs et d'aventures! On s'amuse ainsi à relier le passé et le futur, grâce à ces personnages pas tout à fait inconnus et déjà attachants. On aurait presque voulu en lire plus!


En fin d'ouvrage, se trouvent des petits "Tamu Tamu Time" toujours aussi drôles, tandis que l'auteur nous offre un nouveau petit délire, où Sarasa devra remplacer son frère, une star de la chanson, dans le monde impitoyable du showbiz!

Note :

Critique T.27: Second (et dernier) recueil d'histoires courtes, ce vingt-septième et ultime tome de Basara n'a rien d'un bonus tant ce qui y est raconté s'inscrit dans la logique et parfois la suite du récit principal.

Dans la longue nouvelle intitulée "Kanata", on retrouve avec bonheur nos principaux héros dans une aventure périlleuse et pleine de panache, mais aussi très forte en sentiments et en révélations sur les pensées de chacun d'eux.

Ensuite, les plus courts "Saraba", "Takara" et "Hakama" nous parlent respectivement de Shinbashi, Tamon et Hachiya, et c'est toujours un plaisir de voir l'auteure développer un peu plus ses personnages secondaires.

Sorte de prolongement de la première nouvelle, "Pajama" fait un peu office d'épilogue à la série, tandis que "Wakaba", qui se déroule quelques années plus tard, nous replonge dans l'atmosphère d'un pays où rien n'est jamais acquis et où il faut se battre pour maintenir la paix et gouverner avec raison et justice.
Le retour de certains protagonistes (et l’apparition de nouveaux!) fait sacrément plaisir, et on apprécie tout autant la direction réaliste donnée à "l'après-Tatara"!

Enfin, le très court "Sarasa" conclut le titre sur une belle mise en abyme qui prend sens dès que l'on repense au siècle auquel se produisent les évènements de Basara, un clin d’œil très touchant de la part de Yumi Tamura.

En espérant pouvoir un jour profiter d'une nouvelle série de la mangaka en France!

J'ai ENFIN trouvé la série  en integrale d'occas, bon j'y ai laissé des plumes, mais c'est un titre à avoir.

ah oui tu l'as prise à rythm'n BD? je l'y ai vue y'a pas longtemps!
bon choix!

bonne lecture alors!

Platine BD non ? au mans

yep rue nationale ^^ mais je me rappelais pas de ce nom-là! :p

ça a peut-etre changé, en tout cas le proprio est plus le meme.

Tu traine autour du Mans ?


Pour en revenir à la série, je la lirais la semaine prochaine, je vais profiter des vacances

Shoichi a écrit:

Tu traine autour du Mans ?

t'es à la ramasse Shoichi XD je l'ai dit ici et sur FB, j'ai déménagé au Mans l'année dernière ^^

Je savais pas :O peut-etre qu'on s'est croisé et que je t'ai pas calculé xDDD