Chiisakobe est un manga de Minetaro Mochizuki, auteur connut en France pour ses récits angoissants.
Ici, l'auteur reprend et adapte un classique de la littérature japonaise écrit par Shugoro Yamamoto en 1957, mais transposant le récit à notre époque.
Nous sommes loin de ses récits angoissants, en effet, l'histoire est plus un drame, ou une leçon de vie.
Prépublié dans le Big Comic Spirits et edité par Shogakukan, la série qui comptera 4 tomes est publiée chez Le Lezard Noir.
L'edition est un grand format sans jaquette avec quelques pages couleurs.
Ce titre a bénéficié d'une certaine couverture médiatique par queles magasines et sites, voici quelques exemples.
Une excellente présentationun teaser- Présentation dans deux mags:
Synopsis :Un jeune charpentier, Shigeji, qui a perdu ses parents et Daitome, l'entreprise de son père dans un incendie, se promet de rebâtir l'entreprise en suivant les mots de son père : "Ce qui est important pour les gens à travers les âges, c'est l'humanité et la force de la volonté." Shigeji embauche Ritsu qui n'a pas d'endroit où aller comme assistant. Quelques enfants d'un orphelinat qui ont perdu leur maison viennent aussi à Daitome.
Mon avis : L'editeur l'ayant vraiment bien vendu, j'etais vraiment tenté par le titre, mais j'ai déchanté au début de la lecture, un protagoniste vraiment pas top, et on sais pas trop où ça va se diriger.
Mais en continuant la lecture, j'ai été conquis. il est très vite entouré par d'autres persos interessants, que ça soit son amie d'enfance, ou les enfants, mais aussi le "duo comique" du directeur de banque pervers et de sa fille.
Au niveau du dessin, c'est une bonne chose d'avoir du grand format, ça permet de bien profiter des dessins.
En ce qui concerne l'edition, c'est un execellent travail, meme si j'aurais bien voulu une couverture dure, comme pour certains autres titres de l'editeur.